Je déclare être candidat à l'élection présidentielle de 2027. Si une primaire des souverainistes est organisée – et je ferai le maximum pour qu'elle le soit – je serais candidat à cette primaire.
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Le 12 septembre 2024
Françaises Français, chers compatriotes, chers amis,
Je déclare être candidat à l'élection présidentielle de 2027. Si une primaire des souverainistes est organisée – et je ferai le maximum pour qu'elle le soit – je serais candidat à cette primaire. Je suggère aux autres candidats de notre camps de se déclarer également car nous avons tout intérêt à l'organiser. En effet, les avantages d'une primaire sont : 1/ que sa dynamique rassemble plus largement que de se rassembler directement derrière un candidat et 2/ pour les candidats, d'apparaître comme des gens qui respectent fondamentalement un processus démocratique, et non pas comme des arrogants qui se prennent pour des sauveurs de la nation ! Quoi qu'il en soit, les personnalités de notre camp qui ne se présenteront pas à cette primaire perdront toute légitimité ; en effet, comment un potentiel candidat de notre camp pourrait convaincre qu'il peut gagner l'élection présidentielle officielle s'il ne veut pas prendre le risque de perdre une primaire !?
Comme candidats potentiels, je pense à François Asselineau, Richard Boutry, Pierre de Gaulle, Nicolas Dupont-Aignan, Georges Kuzmanovic, Florian Philippot et il y a probablement d'autres personnalités qui auraient envie d'être candidates – qu'elles se manifestent. Si cette primaire est organisée et si je perds, je m'engage dès maintenant à soutenir le gagnant.
D'autre part, l'élection présidentielle n'est que la première partie d'une campagne qui est jumelée avec les élections législatives qui suivront presque certainement. Alors, si vous avez envie de vous impliquer en politique pour votre pays et que vous êtes dans le camp patriote – de gauche ou de droite – c'est à dire que vous vous reconnaissez plus dans une vision souverainisme que mondialisme, que vous êtes pour plus de démocratie – autrement dit, pour plus de pouvoir du peuple – que pour une oligarchie financière et que l'idée de plus de bien commun vous parle plus que l'égoïsme du néolibéralisme, alors, présentez-vous aux élections législatives. Pour se présenter aux élections législatives, il faudra évidemment créer un parti au sens de la loi n° 88-227 du 11 mars 1988. Le nom de ce futur parti sera choisi lors d'une assemblée générale. Il s'agit de se rassembler pour créer un grand mouvement populaire. Bien entendu, ce futur parti aura pour vocation de s'installer dans la durée et à gouverner la France.
Si vous voulez participer à la création de ce parti, n'hésitez pas à me contacter et à rejoindre le groupe public sur facebook.
Notre société est un peu schizophrénique entre ceux qui sont manipulés par les médias de masse et ceux qui s'informent sur internet.
Donc, tant qu'une majorité sera sous l'emprise des mass-médias, nous ne serons pas vraiment en démocratie, car en effet, ce sont les médias – aux services du pouvoir financier – qui crédibilisent, légitiment et finalement décident de qui sera au pouvoir. La propagande incessante diffusée par les médias de masse ainsi que la censure en sont des preuves irréfutables. Il n'y a donc aucune chance que les médias dominants se fassent l'écho d'une primaire et de candidats qui sont les adversaires du pouvoir financier ! SVP, transférez ce message à tous citoyens résistants.
Nous sommes en guerre contre l'oligarchie financière qui veut nous imposer une nouvelle forme de totalitarisme sanitaire, numérique et monétaire. C'est malheureusement indéniable, les banksters qui se réunissent entres autres dans des clubs discrets comme le Bilderberg et en France à la French-American Foundation, veulent nous amener vers une dictature bancaire avec la disparition de la monnaie papier pour une monnaie 100% numérique.
Il faut bien comprendre que l'économie de marché est basée sur deux escroqueries : premièrement une rareté artificielle de la monnaie et deuxièmement une rareté maintenue de la production. De fait, il n'y a pas de sciences économiques, c'est un attrape-nigaud, une invention des banquiers pour justifier leur colossal pouvoir, leurs règles du jeu, leur comptabilité, leur domination absolue sur l'humanité.
Aujourd'hui comme hier, il y a une lutte des classes entre les nomades de l'hyperclasse, c'est à dire ceux qui contrôlent le système monétaire et leurs serviteurs – les médias, les technocrates et la plupart des politiques – d'une part et tous les autres d'autre part, c'est à dire nous les 99%.
Soyons clair, la monnaie ne peut fonctionner que si elle est maintenue artificiellement rare pour 99% des gens, mais évidemment, il n'y a rien de plus facile à créer que la monnaie (c'est juste des chiffres sur des écrans) et donc pour cacher leur incurie (concrétisée par les nombreux Q.E. et les dettes souveraines abyssales), leur escroquerie (le système monétaire actuel, c.a.d. une monnaie créée ex-nihilo et contrôlée par les banques privées, dénoncée par Maurice Allais prix Nobel d’économie, la déclarant identique à celle de faux monnayeurs, ce qui a eu pour conséquence immédiate son bannissement des médias) et pour continuer à nous maintenir en esclavage, la seule solution pour l'oligarchie financière c'est de dématérialiser complètement la monnaie afin d'éviter une panique bancaire, une course aux guichets ou bank run, car le bank run est la seule hantise du banquier, et sans papier plus de bank run possible !
Pour les mondialistes néolibéraux, le terme de « choix politique » perd toute signification car la société, selon leur idéologie, n’est qu’une somme d’individus, ce qui justifie qu’il faut dépolitiser les débats au profit de simples mécanismes de marchés auto-régulateurs, la fameuse « main invisible du marché » selon eux, mais de façon plus réaliste, il s'agit bien de la main bien concrète du créateur de la monnaie, du banquier, du pouvoir absolu de la finance. Les médias dominants au service des mondialistes font même passer le terme de souveraineté comme une incongruité, voire une grossièreté ou une incorrection! Il est sans fondement de lier le risque de dérive nationaliste agressive à l’idée de souveraineté, ce n'est qu'un argument des mondialistes pour tenter de décrédibiliser la souveraineté des peuples afin d'imposer la dictature mondiale des banquiers. Il nous faudra reconstruire les chemins d’un vivre-ensemble apaisé par une souveraineté populaire au sein de la nation.
Le peuple doit prendre conscience de l’importance fondamentale de la création monétaire. Les citations d’hommes célèbres tels que Thomas Jefferson, Napoléon, Abraham Lincoln, Woodrow Wilson, Henry Ford, JF Kennedy, Maurice Allais, Bernard Marris, etc. confirment cela. Même Rocard avait déclaré à la radio que « nous vivons dans un super État bancaire international ». Chaque jour, chaque citoyen pense à l’argent et pourtant combien savent comment est créée l’argent ? C’est la preuve d’une manipulation de masse extraordinaire ! Le système monétaire actuel est la principale source de nos problèmes de société et d'environnement. Ce système – la création monétaire ex nihilo par la dette – est profondément absurde, défectueux et inique ; de fait, c'est une véritable escroquerie. Les questions de comment est créée la monnaie et de quelle est la motivation de ceux qui contrôlent son émission, sont primordiales. La monnaie n'est qu'un moyen pour mobiliser l'énergie humaine et son émission devrait légitimement appartenir aux institutions représentant les citoyens et… ce n'est pas le cas aujourd'hui et c'est bien le cœur du problème !
Le pouvoir dans nos démocraties est donc détenu par les maîtres du capital financier globalisé. Ce sont ces oligarchies qui gouvernent la planète, un pouvoir invisible, non élu, qu’a dénoncé Woodrow Wilson président des États-Unis juste après la création de la FED le 23 décembre 1913. La démocratie française, comme toutes les autres de l'U.E., n’a pas le pouvoir réel sur les choses essentielles. Les décisions sont prises par les oligarchies, c’est-à-dire les PDG des grandes banques et des sociétés multinationales. Ces transnationales échappent à tout contrôle parlementaire, étatique ou syndical. Ces oligarchies ont une seule stratégie : la maximalisation du profit dans le temps le plus court et à n’importe quel prix humain et environnemental. Cela aboutit à l’affaiblissement des institutions démocratiques, à un mépris absolu du bien commun, à la destruction progressive de la planète, de la biodiversité, des forêts tropicales, avec l’empoisonnement des sols, de l’eau et des mers. Leur dogme, l'obscurantisme néo ou ordo libéral qui dit que seul le marché fait l’histoire et qu’il obéit à des «lois naturelles» est, évidemment, un pur mensonge.
On ne peut pas humaniser, améliorer, réformer un tel système. Il n'y a pas d'autre solution que de l’abattre. Aucun des systèmes d’oppression précédent, comme l’esclavage, le colonialisme, la féodalité, n’a pu être réformé. L’oppression ne se réforme pas.
Sur l'échiquier politique de la droite à la gauche social-libérale, tous défendent l'ordolibéralisme de l'UE, tous sont complices de cette oligarchie financière, tous défendent cette idéologie qui considère que le politique n'a pas à intervenir dans le domaine économique. Selon eux, selon la théorie ordolibérale, l'État a pour responsabilité de créer un cadre légal et institutionnel à l'économie, et de maintenir un niveau sain de concurrence « libre et non faussée » via des mesures en accord avec les « sacro-saintes lois du marché ». Bien que l'ordolibéralisme se distingue du libéralisme classique anglo-saxon fondé sur la dérégulation et le « laisser-faire », il est cependant un libéralisme en ce que l'État doit se cantonner à la fixation et à l'application de ces règles et ne doit pas mener de politique économique structurelle ni même conjoncturelle.
La société de consommation actuelle a tendance à enfermer les gens dans des attitudes individualistes où chacun s’isole et vit pour lui-même. Pour en sortir, il faut reconstruire une société plus solidaire, qui permette un partage plus égalitaire des richesses et offre une promotion à chaque être humain. Notre société trop souvent mécanique, froide et impersonnelle, souffre d’une déshumanisation, de logiques strictement comptables et de perspectives à courte durée. Une citoyenneté bien comprise devrait instaurer davantage de partage, de fraternité et de liberté pour conduire des actions créatrices d’avenir.
Le modèle de société néolibérale qui a produit la contre-civilisation qui est la nôtre est un cancer qui ronge et détruit non seulement le vivant, la terre, les mers, l’air, tout ce qui marche, nage, pousse ou vole, mais qui annihile aussi les sociétés humaines, les rabaissant à un agglomérat d’égoïsmes en concurrence, de consommateurs compulsifs aliénés aux « cerveaux disponibles ». Il n'est plus à démontrer les ravages de l'idéologie libérale (néo ou ordo) sur l'humanité et la nature. C'est donc une alternative à ce système mortifère que nous devons mettre en place. Un retour du politique dans l'économie premièrement par un contrôle de la monnaie par l'État afin de développer une société plus juste et plus respectueuse de l'environnement. Un modèle de société réellement social, écologique et démocratique.
Il serait tout à fait possible de vivre dans une démocratie radicalement différente de celle d'aujourd'hui. On pourrait facilement vivre dans une société plus harmonieuse et cela n'a rien d'extraordinaire dans le fond. Si nous ne vivons pas déjà dans une société plus apaisée, c'est simplement parce que nous n'avons pas ouvert les yeux en termes de choix politiques fondamentaux. Ce sont nos choix politiques qui doivent déterminer si, oui ou non, les banques privées, les transnationales, la société de consommation et la publicité existent ou n'existent plus ; si, oui ou non, la fonction bancaire doit être un véritable droit régalien ou un droit privé comme aujourd'hui ; si, oui ou non, le pouvoir politique partage avec les citoyens et les élus de base, le fonctionnement de la production de marchandises et du système dans son ensemble.
Suite au rétablissement de notre souveraineté monétaire, il nous faudra, également, récupérer notre souveraineté économique par une planification aux fins d’une reconstruction de chaînes de la valeur plus autocentrées sur le territoire ; et forcément par une interdiction de la financiarisation et des activités spéculatives parasitaires et rentières ; une décarbonisation des activités ; un développement des filières écologiques comme par exemple celle de l’économie circulaire. Il faut utiliser notre souveraineté économique pour rebâtir un monde moins concurrentiel et respectueux des valeurs françaises : rétablir des droits de douanes compensateurs des inégalités de protection sociale entre pays ; établir le principe d’un maxima des rémunérations.
L’Union Européenne est une technocratie exclusivement au service des banquiers, des multinationales et des marchés, au sein de laquelle les états membres ont perdu leur capacité d’autodétermination dans la plupart des domaines dont, la sauvegarde des services publics, les couvertures sociales, les retraites, l’autonomie monétaire, la gestion de l’endettement, le contrôle des importations et des flux migratoires, la défense nationale (liste non exhaustive). Pourtant toute nation doit absolument disposer de sa totale autodétermination afin d’être en mesure de sauvegarder, tant le bien être de sa population que son propre équilibre économique.
C’est ainsi que pour promulguer les lois en faveur de la population, dont celles qui permettront de reprendre la main sur l’ensemble de ces dérives, il sera nécessaire de s’affranchir de cette tutelle mortifère européenne, dont l’histoire démontre qu’elle fut créée sous l’impulsion américaine, avec le consentement coupable de nos élites, dans un but d'une domination sur l’Europe.
Avec cette décision, la France populaire, fidèle à son histoire de fer de lance en terme de lutte pour la sauvegarde des valeurs humaines, devra à nouveau être à l’initiative. Les conséquences économiques et sociales nettement positives, réveilleront automatiquement les populations des autres pays, qui entraîneront naturellement leurs nations à faire de même.
En tant que l'un des 5 membres permanents du Conseil de sécurité de l'O.N.U., la France retrouvera sa place dans le concert des nations, où elle sera écoutée.
Afin de promouvoir l’harmonie européenne de l’Atlantique à l’Oural, un accord de partenariat solidaire dans le respect de l’autodétermination des nations, sera proposé aux pays européens. Cet accord visant des échanges commerciaux équitables, sans concurrence entre nations, fera revivre l’OIC (Organisation Internationale du Commerce) qui fut signé en 1948 entre 54 pays industrialisés, y compris par les États-Unis qui le dénoncèrent par la suite afin de le remplacer par l’OMC en 1995 pour l’effacement des frontières commerciales, source de la concurrence des travailleurs les uns contre les autres à l’échelle mondiale.
L’exemple mitigé de l’indépendance de la Grande Bretagne face à l’UE, ne sera pas à considérer, entendu que la connivence contre les peuples de la part des hautes bourgeoisies restées aux manettes, y a fait le choix de laisser précisément le pays dans les règles de l’OMC évoquées ci-dessus, laissant le monde du travail, dans la précarité de la désindustrialisation et de l’agriculture en déclin.
Dans cette démarche d’autodétermination de la nation, nous serons aussi motivés par le constat de l’accélération des dégradations de notre société depuis l’intégration à notre constitution en 2008 du traité de Lisbonne qui met la France sous la tutelle de l’oligarchie européenne. Une opération effectuée par la trahison de N. Sarkozy et de nos parlementaires, à la majorité des 3/5èmes, avec la reprise du Traité Constitutionnel Européen (TCE) pourtant refusé par les électeurs français par référendum le 29 mai 2005.
Nous sommes de plus en plus nombreux à proposer une nouvelle civilisation d'harmonie, d'autonomie, de liberté, de partage, de respect mutuel et de préservation de l'environnement ; cette vision a commencé dans nos têtes et la concrétisation de cette société est inéluctable. Forcément, ceux qui sont à la tête des transnationales, ceux qui nous manipulent et nous tiennent en esclavage avec leur monnaie de singe n'apprécient pas cette évolution, cette prise de conscience ! Une nouvelle forme d'organisation sociale, un nouveau paradigme libéré de l'emprise du marché et de l'esclavage de la monnaie dette émerge à l'horizon, nous sommes à l'aube d'une nouvelle civilisation.
Dans de plus en plus de pays, les peuples défendent leurs souverainetés contre les banquiers-mondialistes. La question qui compte est : « est ce que les individus, les institutions et les nations sont souverains, notamment concernant les questions d’alimentation, de santé et de libertés, ou bien sont ils sous le contrôle et la domination d’une oligarchie et d’un gouvernement mondial qui pourrait dégénérer en dictature !? Autrement dit, sommes nous pour un monde unipolaire contrôlé par les banquiers, les multinationales et le « divin » marché ou pour un monde multipolaire ; ou encore sommes nous pour une Union Européenne ordolibérale ou pour une Europe de nations souveraines qui collaborent aux niveaux militaire et géopolitique. C’est à ces questions cruciales, c'est à ce choix de société auquel nous devrions répondre par nos suffrages lors des élections souveraines de notre pays : les élections législatives.
Nous sommes pour le Référendum d'initiative citoyenne, pour la sortie de la France de l'OTAN, pour un revenu universel et un contrôle de la monnaie par l'État. Nos propositions sur l'éducation, l'agriculture, l'alimentation, la santé, les affaires étrangères, la défense, la justice, la police, les institutions, la monnaie, la production et la distribution des biens matériels, la culture, l'énergie, le logement, la ruralité, les transports, etc., feront l'objet de débats entres les membres de ce futur parti afin d'établir notre projet pour les élections législatives.
Si vous voulez en savoir davantage sur mes convictions, vous pouvez lire mon dernier ouvrage publié : « La Monnaie hier, aujourd'hui et demain » et allez sur youtube > youtu.be/GC4AOFiOGAk <> youtu.be/_nqjqAXBaqM <> youtu.be/cfqc-VUxJ18 <
Bien à tous et vive la France.
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